Paul est à son bureau et finalise sa réponse à un appel d’offres lancé par une communauté de communes en vue d’en assurer les équipements collectifs.
En fin de matinée, il s’occupera, avec son assistante, de quelques dossiers de clients ayant subi des « mesures tarifaires » de la part de la compagnie X et en profitera pour faire le point sur les modalités d’une convention de délégation de gestion de contrats santé que cette compagnie lui a proposée.
Cet après-midi, il assistera, avec son client, à une première réunion d’expertise suite à un incendie qui a ravagé, il y a quelques semaines, un entrepôt de stockage de marchandises.
Ensuite, comme depuis quelques années maintenant, il donnera un cours sur la prévention des risques à des salariés en formation professionnelle auprès de la chambre de commerce et d’industrie de sa ville.
Une journée bien remplie, comme tant d’autres, pour Paul. Il est depuis quatre ans courtier d’assurance après avoir exercé le métier d’agent général pendant plus de quinze ans. Pendant tout ce temps, il a vu la concurrence se durcir : que ce soit de la part de la bancassurance, des opérateurs internet bien sûr, mais aussi du fait de ses confrères de la place.
La réponse à cette concurrence accrue, il l’a trouvée dans l’accompagnement et le service au client, un service sans cesse en adaptation et aux formes multiples. Certaines de ses activités, à caractère patrimonial, sont des professions réglementées, d’autres sont de pures prestations de service, annexes à l’activité de distribution d’assurances sans en faire véritablement partie.

Les activités annexes garanties

La diversification de ses activités est nécessaire pour répondre à la multiplicité des besoins et des demandes de ses clients mais cela implique une prise de responsabilité croissante pour Paul et ses équipes. Il revoit donc régulièrement la couverture de ses risques professionnels, notamment sa RC Professionnelle qui fait partie des assurances obligatoires, nécessaires à l’exercice de sa profession.
Pour sa RC Professionnelle et sa garantie financière, Paul a toujours fait appel à CGPA.
Conscient que les capitaux minimums exigés par la règlementation française sont insuffisants par rapport aux risques encourus dans le cadre de ses activités, il sait qu’en cas de mise en cause importante, son patrimoine personnel risque d’être exposé. C’est pourquoi chez CGPA, Paul a toujours bénéficié de plafonds supérieurs aux minima légaux.
Au-delà du montant des capitaux garantis, Paul s’est à nouveau interrogé lors de l’entrée en vigueur de la Directive sur la Distribution d’Assurances alors même que ses différentes activités pouvaient l’amener à intervenir en marge de la règlementation (dans le cadre de l’exécution de certaines conventions passées avec des compagnies ou bien encore lorsqu’il dispense ses séances sur la prévention des risques).
Soucieux de maintenir le niveau de ses capitaux garantis mais également de s’assurer de l’étendue de sa couverture à l’ensemble de ses activités, Paul a immédiatement interrogé CGPA qui lui a confirmé que dans le cadre de la nouvelle offre contractuelle, sa couverture RC Professionnelle avait été conçue dans l’esprit d’un strict respect des obligations contenues dans DDA et de l’accompagnement des intermédiaires dans l’évolution de leurs activités.
Paul s’est ainsi aperçu qu’il bénéficiait au titre de sa couverture RC Professionnelle d’une garantie dédiée à ses activités règlementées mais également d’une garantie distincte en termes de capitaux pour les activités annexes qu’il développe depuis quelques années, notamment lorsqu’il propose des actions de prévention auprès de tiers, qu’il s’engage à conserver et à archiver pour le compte de la compagnie les originaux des contrats souscrits par son intermédiaire ou qu’il exécute les recours en vue du recouvrement des franchises pour le compte de ses clients.

Une RCMS jusqu’à 2 millions d’euros

Il a également appris qu’à côté de sa garantie Assistance en cas de contrôle ACPR, il bénéficiait dorénavant d’une garantie Défense Pénale et d’une Avance de Caution Pénale. Paul a aussi noté qu’il bénéficierait automatiquement d’une garantie RC Exploitation.
Bien qu’étant en société depuis quelques années, Paul n’avait pas trouvé d’offre séduisante pour garantir sa responsabilité civile en tant que mandataire social. Son contrat lui offre désormais de garantir ce risque avec, selon son choix, un montant de garantie totalement adapté à ses besoins pouvant aller jusqu’à 2 millions d’euros.
Paul a toujours considéré que sa volonté de donner le meilleur service à ses clients nécessitait de recourir à des outils informatiques puissants, capables d’optimiser le traitement et l’utilisation des données qui lui étaient confiées ou qu’il collectait dans le cadre de ses activités.
Avec l’avènement de la règlementation en matière de protection de ces données et la recrudescence des attaques cybernétiques, il a néanmoins vite pris la mesure, compte tenu de l’importance des données personnelles de ses clients, de son exposition face à la menace que représente l’atteinte à ces données.
En effet, bien qu’il n‘ait jamais connu le cas chez lui, Paul a su que des collègues géographiquement proches avaient été victimes d’attaques de leur système informatique et que certains, adeptes comme lui du tout numérique, s’étaient retrouvés bloqués dans leur activité pendant plusieurs jours, d’autres ayant du reconstituer une partie de leurs données au terme des attaques dont ils avaient été victimes. Là aussi, face à ces nouveaux périls, Paul a été heureux de constater que CGPA était au rendez-vous ! Son contrat intégrait sans surprime une couverture de ses risques Cyber bien adaptée aux activités de l’intermédiation d’assurance.

Accompagnement et formation

Sociétaire de CGPA depuis plusieurs années, Paul su apprécier le développement des différents services que CGPA a mis à la disposition de l’ensemble de ses clients au fil du temps.
Parmi ces services, l’accompagnement personnalisé témoigne du professionnalisme des équipes de CGPA qui sont exclusivement dédiées à la couverture des risques professionnels liés à l’exercice des activités de l’intermédiation. Bien que dans sa carrière, il n’ait été mis en cause qu’une seule fois, il a apprécié d’être accompagné de façon déterminée et indépendante au cours de cette épreuve qui s’est heureusement soldée par un abandon des demandes du réclamant qui s’étaient avérées infondées au regard des règles de la responsabilité civile.
Il a par ailleurs été très vite utilisateur du module d’accompagnement à la gestion patrimoniale née de la collaboration entre CGPA et Fidroit, qui lui a permis de faire croître avec expertise son activité patrimoniale. A ces différents services s’ajoutent des modules de formation qui ont été développés à destination des sociétaires de CGPA sous l’appellation CGPA Campus. Construits sur la base de cas réels de mise en cause, inspirés des dossiers sinistres de CGPA, les modules de formation reflètent les situations conflictuelles concrètes et apportent des solutions pragmatiques.
L’offre de formation se décline sous deux formats : des sessions animées en présentiel (session d’une journée, petits déjeuners, formations intra …) et l’accès à des sessions de formation en ligne, avec des parcours à la carte, constituées de modules e-learning validés par un quiz final. Mais surtout, et c’est ce qui a particulièrement séduit Paul, ces formations sont toutes éligibles aux « 15 heures DDA ». Un moyen supplémentaire d’aider les intermédiaires !
Bien que complète, l’étude menée par Paul ne s’est pas intéressée aux aspects qu’il ne pratique pas dans son activité tels l’intermédiation financière et le conseil financier (IOBSP, CIF…) ou l’intermédiation en transaction immobilière. Gageons que par son dynamisme il sera un jour concerné ! Mais il sait déjà qu’il peut compter sur CGPA qui saura l’accompagner en répondant à ses nouveaux besoins !